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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 10:04

Des esprits éclairés n’ont cessé de nous répéter que la science économique s’était passée de bon sens pour faire appel à des méthodes dont la formulation et les résultats étaient, pour le moins, aléatoires. C’est, d’ailleurs, pourquoi ils ont paru si virulents dans leur opposition au pacte de stabilité européen qui était, en fait, le cadre d’une politique d’austérité. Le résultat ne s’est pas fait attendre avec un accroissement accéléré du chômage. Depuis plusieurs années ils nous répètent que la science économique est une pseudoscience. Et que les orientations préconisées par les grands organismes financiers internationaux étaient autant d’erreurs qui ont couté très cher au développement et à la santé de la planète. D’ailleurs, les équations mathématiques  appliquées aux affaires s’appellent des ‘’martingales’’, terme utilisé, de façon identique, par les gros joueurs de Casino. Ce défi au bon sens, qui est le jeu normal des économistes, ceux-là qui nous en mettent d’autant plus dans la vue que leurs propos sont incompréhensibles et mal maitrisés, est une évidence pour la plupart des observateurs normalement constitués. Vous ne pouvez dépenser que ce que vous avez et ce que vous pouvez rembourser. Et si l’on vous retire des revenus, votre pouvoir d’achat et vos possibilités de remboursement diminuent dans la même proportion que la perte de vos revenus. C’est pourquoi, il était d’une grande sagesse économique de ne pas diminuer les dépenses publiques,  en cas de récession ou de stagnation économique pour ne pas nuire à ce qui restait de l’activité économique. Sinon on renvoyait toute croissance aux calendes grecques. Le FMI vient d’avouer que sa ‘’martingale’’ était erronée. Mais les résultats de cette erreur vont  se faire sentir sur le malheur des peuples pendant encore plusieurs années. Si ce genre d’erreurs, était des cas isolés, nous pourrions avoir quelques indulgences. Mais depuis que l’on a confié la gestion du monde à ces technocrates de l’économie, presque toutes les décisions ont jeté la planète contre les murs.

 L’économie est une chose trop sérieuse pour la confier à des économistes. Les citoyens du monde doivent pouvoir contrôler les politiques monétaires et économiques qui leur sont appliquées  et ne pas les confier à des systèmes technocratiques qui n’ont pas plus de compétences que la moyenne des citoyens. C’est ce pouvoir de décision et de contrôle qui est la clé de tout système démocratique et qu’il nous faut, à tout prix, récupérer.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 11:38

La crise que traverse notre pays ne sera résolue qu’avec le concours de tous. Pourtant le bruit de fond médiatique, nous renvoie des rumeurs de petites querelles mondaines, de qui pro quo futiles, de petits différents ministériels qui ne mettent pas en cause la cohésion gouvernementales mais qui est la salle d’expositions d’ego surdimensionnés et d’ambitions impatientes. Il n’y en a qu’un  qui prenne au sérieux ce genre de choses c’est Jean François Copé qui joue les Buster Keaton pour réclamer la démission du ministre de l’éducation nationale. Ce monsieur devrait savoir que, lorsqu’on se noie, la meilleure décision à prendre, pour attendre les secours, c’est de ne pas trop s’agiter.

La démocratie est constitutive de la liberté d’expression et cette liberté est inaliénable. Donc la critique de toute décision quelle qu’elle soit est, en soi, une forme de liberté d’esprit et la plupart des progrès de la démocratie sont la résultante de cette critique raisonnée et raisonnable. Encore faut il que cette critique ne sape pas l’autorité d’une institution au point de bloquer son fonctionnement ou de conduire à l’irrespect. C’est dans le cadre de cet irrespect qu’un journaliste a cru devoir « voler » une photographie dans le local syndical du syndicat de la magistrature pour en faire une divulgation en dehors de la mission qui lui était confiée. Depuis, ce qui était un « gloussement », comme l’a écrit un journaliste, une expression humoristique d’une certaine résistance aux pressions politiques qu’a fait subir la droite aux juges dans la période précédente, au pire un défouloir, est devenu une affaire d’état ! Le mur des cons n’est qu’une réplique, peut être maladroite, aux attaques incessantes du pouvoir précédent contre ceux qui étaient détenteur de l’autorité judiciaire !

Notre république comporte trois pouvoirs essentiels : le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. Ces trois pouvoirs sont indispensables au fonctionnement de la république. Pour en améliorer l’efficacité et l’harmonisation il est indispensable de renforcer l’indépendance de chacun par rapport aux deux autres. La démocratie et la république y trouveront leur compte !

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 10:41

 

France, ressaisis-toi !  http://franceressaisistoi.wesign.it/fr

Nous refusons cette société qui se replie sur elle même! Nous refusons la normalisation de la parole raciste! Nous refusons l'instrumentalisation de nos valeurs à des fins politiques! Nous demandons que toutes formes de racisme soient fortement condamnées! Nous demandons que la haine ne mutile plus le corps de la liberté, l'âme de l'égalité et le cœur de la fraternité. Signez cette pétition afin de soutenir les mouvements qui luttent contre toutes formes de racisme, de nationalisme et de xénophobie.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 14:58

 

Notre pays grouille d’insatisfactions. L'écume des mécontentements se mixte avec la marée montante des abuseurs.  Ceux qui font croire que leurs intérêts sont identiques de ceux qu'ils licencient. Ceux qu’ils chassent au gré de leur mauvaise gestion, de leurs circuits particulièrement illogiques, de leurs rétributions de la PAC, de leurs pollutions des rivières et des mers. 

Les huées et les sifflets des Champs-Elysées me font mal à la France ! Voici revenu le temps des ligues d’extrême-droite dont les points communs étaient la violence et l'anti-républicanisme. Et l'on peut craindre que les événements du 11 novembre ne soient les prémices d'actions plus radicales.  Quand on sait à quelles extrémités peuvent aboutir les partisans de ces idéologies!

Notre pays ne va pas bien et sa gouvernance semble désemparée! Non que les hommes et femmes qui la composent ne soient pas des êtres de valeur. Mais parce qu'elle manque de combativité et, par conséquent, d'efficacité. Le combat est à mener contre cette Europe égoïste, antisociale, antidémocratique, soumise aux intérêts de la finance internationale. Cette Europe qui fait preuve "d'adaptabilité" pour mieux leurrer ses citoyens. La situation de ses habitants n'a cessé de se dégrader. La     directive de détachement dite de "Bolkestein ", est une atteinte majeure au modèle social européen. Sans compter les disparités fiscales et sociales qui conduisent à une concurrence déloyale entre ses états.

Mais ce que contiennent les malles de la droite sera bien plus terrible pour toutes les couches de notre population, avec atteintes majeures à notre système social! Les mesures qu'elle proposera mettront à mal plusieurs décennies de conquêtes et d'avancées pour servir le grand capital qui, lui, se porte de mieux en mieux!

Alors qu'on ne la laisse pas revenir au pouvoir! Que le peuple de gauche passe par dessus  ses divisions pour lui faire un barrage électoral! Il sera toujours temps pour lutter contre les dérives droitières de sa gouvernance!

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 09:35

Boukar Diouf, est comédien Québécois et Océanographe. C’est un de nos humoristes préféré, venu d'Afrique et qui a épousé une gaspésienne du Québec. Je ne résiste pas à vous adresser ce texte renversant.

Vous aimez la langue française?   Moi aussi.

Saviez-vous que le français est une langue animale?

«Myope comme une taupe», «rusé comme un renard» «serrés comme des sardines»...Les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les fables de La Fontaine, ils sont partout.

La preuve : que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.

Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là, ... pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin.

Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié : cette poule a du chien, une vraie panthère ! C’est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.

Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive. Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi ! Et vous, vous êtes fait comme un rat.

Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon). Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vous inventez une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. C'est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le dindon de la farce. Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie.

Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence. Après tout, revenons à nos moutons : vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 15:16

Difficile de parler de l’évènementiel quand l’essentiel est transmuté par l’injustice, l’inégalité et la discrimination. Quand l’ordre établi est le reflet d’une hiérarchisation de laquelle relève la structure d’un génome social dont le pouvoir de reproduction asphyxie la démocratie. Car il ne peut suffire de doter un pays des éléments constitutionnels et juridiques pour en faire un état démocratique.  Il faut que cette démocratie, pour exister réellement, soit accessible à tous ! Qu’elle soit suffisamment attractive pour soulever l’intérêt de chacun ! Qu’elle soit suffisamment ouverte pour donner à ces citoyens l’éducation et la culture. Cela leur permettra d’avoir un avis argumenté sur son évolution. La justification de cette hiérarchisation par les inégalités de naissance ne résiste pas à l’analyse. Celle qui consiste à mettre en avant des inégalités de motivation a, sans doute, plus de profondeur. Pourtant, elle abandonne sur le bord du chemin les causes intrinsèques et extrinsèques de ces démotivations. Reste l’argument ultime du travail fourni ; celui-ci est démenti par le simple examen des postes de travail qui en révèlent la fatuité. Ce qui est vrai, et qui ne justifie nullement la pérennité de notre échelle sociale, c’est la diversité de nos capacités, de nos aptitudes, de nos propensions professionnelles et de nos besoins. Cette vérité nous donne les possibilités d’exercer les professions qui correspondent à nos aptitudes. Pourtant une vraie démocratie permettrait la réversibilité de l’échelle sociale ou du moins son évolution profonde.

Le déficit démocratique de notre pays est criard. La sclérose sociale qui résulte de la reproduction autogène des élites financières et politiques est une des causes fondamentales du sous développement économique qui nous frappe de plein fouet. Les garde-fous de la finance internationale, la globalisation et ses organismes satellites (OMC,  FMI, BANQUE MONDIALE)  en sont une autre en appauvrissant considérablement la réflexion économique. L’extrême pauvreté de notre éducation et notre acculturation  ne permet pas d’envisager le renouvellement de nos élites. La raréfaction volontaire de l’offre d’emplois tue le ferment de toute révolte sociale. La corruption, qui met la France à des niveaux équivalents à certains états du tiers monde, accentue notre handicap démocratique. Sans compter la fraude fiscale. La cupidité d’un certain nombre. Le manque de solidarité. Le patriotisme aléatoire des possédants. Et la compétence très contestable de certains de nos capitaines d’industries. Une armée d’auxiliaires intellectuels est au service de cette forteresse anti démocratique : économistes, politologues, experts en tout genre, chroniqueurs, journalistes, professeurs es diverses matières, juridiques, avocats, gros paysans. Et que penser de ces (ir) responsables politiques qui enveniment les situations à travers des lois qu’ils ont adoptées quant ils étaient aux affaires. Cette pléiade de spécialistes, aux compétences variées, n’a qu’une fonction : interdire les évolutions indispensables vers une véritable démocratie. L’hétérogénéité des convictions politiques souvent dichotomisées en face des situations nationales et internationales. Les xénophobies historiques ou conjoncturelles. Les guerres religieuses larvées. Tout cela témoigne des insuffisances culturelles de notre démocratie.

Notre prospérité passe par l’établissement de la démocratie ! Ceux qui en sont partisans doivent user de toutes leurs forces et par tous les moyens pour arriver à cette fin. Ce n’est pourtant pas le cas…

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 10:13

La droite a deux attitudes contradictoires en ce moment : elle se frotte les mains sur la vue des divisions présumées de la gauche et elle se livre à une baston sans précédent entre les divers prochains candidats à l’élection de président de la République : ceux qui veulent y aller, à tout prix ; ceux qui veulent empêcher certains d’y aller ; ceux qui veulent que l’autre revienne ; ceux qui… Pour l’observateur neutre du combat des chefs dans l’opposition, les lignes de fractures idéologiques ne sont pas particulièrement évidentes. Entre la droite classique et la droite décomplexée, la doctrine économique est commune, les valeurs sont communes et la politique tendant à favoriser ceux qui en ont le plus au détriment de ceux qui en ont le moins est, elle aussi, commune. De même est similaire la tendance à la droitisation de la ligne politique de l’ancienne majorité : après l’appel lancé par l’ancien en 2007, celui de ses sbires (Fillon puis Copé-le-mal-aimé). Seule est différente l’image que veut donner de son parti chacun des protagonistes, plus respectable pour l’un, plus racoleuse pour l’autre dans une stratégie uniquement électoraliste. Pour le reste c’est blanc bonnet et bonnet blanc, selon la formule de ce grand humoriste qu’était Jacques Duclos.

Les problèmes de la gauche sont d’une toute autre nature, dans un environnement international très contraignant. Avec une culture politique qui n’a guère cédé de place à une remise en question du vieux modèle social démocrate. Avec la sclérose relative de son appareil politique et les obstacles qui se dressent sur le chemin des  jeunes générations. La gauche a du mal à définir une doctrine politique moderne ; Politique susceptible de l’autonomiser totalement au sein d’une économie de marché. D’où sa fragilité à résister aux vieux clichés du consumérisme et du productivisme. Sa récente reddition aux arguments du rapport Gallois, et des solutions qu’il préconisait, montre son incapacité à renouveler sa pensée politique vers une société plus participative et un appareil de production plus écologique. Ce travail idéologique est incomplet malgré toute une série d’avancées sociétales qui la distingue du conservatisme indécrottable de la droite actuelle. Sur le plan de la justice sociale, ses avancées sont très nettes avec un souci de redistribution qui mérite une large approbation. Sur le plan économique par contre, sa doctrine la distingue peu de la logique économique actuelle. Si un effort de renouvellement n’est pas fourni rapidement et intensément, la gauche risque de mourir sur les rives incertaines du centrisme le plus banal.

 

 

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 09:58

Le chômage est la maladie le plus grave dont souffre notre pays ; chacun en a conscience et attend du gouvernement qu’il résolve ce problème. Le désamour dont est l’objet notre gouvernance est lié à cette malédiction qui frappe notre nation depuis 1973. Les décisions de cette époque continuent à étendre leurs ravages dans tous les pays d’Europe. La perte de notre indépendance monétaire suivie par la rigidité de la politique économique de l’Europe frappe chaque jour davantage des couches de plus en plus nombreuses de notre population. Une désindustrialisation majeure qu’accélèrent des délocalisations optimisant la rentabilité et l’enrichissement des financiers plonge notre pays dans les affres de la récession. Une incompétence de nos gouvernants n’a pas permis l’effort de formation des professions et des techniciens susceptibles d’avoir les capacités pour s’adapter à la modernisation de l’industrie et aux nouveaux métiers du numérique et du virtuel. La formation professionnelle peut être assimilée à  une gabegie sans aucune influence  sur le devenir de ceux qui la pratiquent. L’avenir passe par l’élévation du niveau d’instruction et de formation et toutes solutions autres ne sont que des expédients éphémères. La droite qui propose la sortie du tronc commun au collège est dans l’erreur absolue. Il nous faut, au contraire, trouver les thèmes et stimuli de motivation de notre jeunesse pour l’acquisition de connaissances indispensables à leur avenir professionnel. Cela passe surement par des rémunérations plus conséquentes et par l’extension du domaine de la justice sociale et la réduction des inégalités.

Une Europe sociale serait la base du changement ! Faisons en sorte que nos actions et revendications accélèrent le changement ! Ce sont de tels moments historiques, par delà les aléas conjoncturels, qui doivent fonder  l’espérance de notre peuple et renforcer la confiance de ceux qui luttent pour des jours meilleurs.

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 15:57

Sa main était froide comme celle dun serpent. ..

Son doigt me fixait d'un regard implacable ...

L'année dernière j'ai parcouru le globe en long en large et en travers ...

Le redoutable échassier se rua sur sa proie ventre à terre ...

Cet audacieux cul-de-jatte n'avait pas les deux pieds dans le même sabot. ..

Estimant qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud l'homme pelleta la congère ...

Muet de rage l'homme s'exclama: vous ne me ferez pas taire Monsieur !

Le cycliste ne voulait pas être la cinquième roue du carrosse ...

Concupiscent, le cyclope loucha sur la belle Atémis ...

Le chauve fut tellement effrayé que ses cheveux se dressèrent sur sa tête...

Courageux, le robuste manchot n'était pas homme à se croiser les bras devant le travail...

Il avait promené sa carcasse aux quatre coins de l'hexagone...

Son tamanoir était doux et câlin mais quand il avait les crocs il fallait le nourrir sans tarder.

DEVINETTE

Un homme qui ne traite que de politique, passe son temps à canonner roses, rouges, verts, centristes et droite modérée, tout en interdisant qu'on lui parle de politique, est-il: con, ou malhonnête, ou frontiste ? Ou bien, con et malhonnête et frontiste ?

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 18:38

La médecine et ses médecins viennent de retrouver l’usage de la parole. Les professeurs DEBRE et EVEN, après une longue période  de silence médical, viennent, à l’âge d’une retraite certainement bien méritée (?), nous informer à grand coup de tapage épistolaire et médiatique que, 50% des médicaments sont inutiles, 20% mal tolérés et 5% potentiellement très dangereux. Pourtant, tous, ou presque, à des taux différents, sont remboursés par la Sécurité Sociale. Cette ‘’Sécu’’ tancée par la Cour des Comptes. Quelques-unes de mes connaissances ayant été victimes de plusieurs de ces médocs ‘’blacklistés’’, dont certains les ont entraînés au plus proche de la ‘’mortitude’’, je me sens obligé de louer cette initiative, tardive certes, mais tout de même avouée. A bien y regarder, la majorité des médicaments dont l’efficacité est reconnue, date, au plus tard, des années 60. Et, forcément, ils ne sont plus profitables aux laboratoires médicaux (Bayer, Boiron, Merck, Sanofi, etc. il en existe une bonne centaine dont le siège sociale est situé soit à Monaco, soit dans Les Hauts de Seine) qui s’ingénient à changer leur nom, leur présentation, voire, leur indication : nous en avons l’exemple parfait avec le Médiator. Du coup, ont été créés les génériques. Parlons-en ! Plusieurs d’entre eux sont fabriqués en Inde, en Chine ou au Brésil  et distribué par nos pharmacies sans véritables contrôles. Pourtant, la ‘’Sécu’’ les rembourse au détriment des originaux. Nous sommes, les dindons d’une farce aux pilules. Sans compter que des normes génétiques bidon nous sont recommandées par les médecins et les spécialistes. Ex ; le cholestérol. Histoire de vendre des médicaments à vie à des patients terrorisés de ne pas être dans les normes fixées arbitrairement.

Les labos en question invitent, gracieusement, médecins et pharmaciens à leurs séminaires promotionnels pour les convaincre de l’efficacité de leurs molécules et des bénéfices qu’ils peuvent entrevoir !

Au bout du compte, non seulement nous sommes bernés en plus d’être plumés mais la ‘’Sécu’’ est plumée avec nous. Et notre santé est hypothétiquement en danger.

Il est temps que la résistance s’organise ! Et pas, seulement, la résistance immunitaire. 

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